♟ why I can't go in the past?

WHY I CAN'T GO IN THE PAST ?
with Dwayne-Louka McCalloway
Il devait être deux heures du matin, à vrai dire, j'avais déjà bu quelques verres, mais je tenais assez bien l'alcool, c'est vrai à force de boire sans cesse, le corps finit rapidement par s'habituer... Pour une fois j'étais restée assez sage, il y avait même une amie qui avait voulu me faire prendre de l'ecstasy, cependant j'avais refusé, pourtant je pouvais même payer ma petite dose, sauf qu'au début je n'avais même pas eu envie de venir à cette soirée organisée, un ami en commun de Dwayne et moi, nous avait dit de venir le rejoindre en boîte de nuit, il nous offrait même plusieurs verres, alors Dwayne s'était dit que cela pouvait être une bonne idée, sauf que moi je n'en avais pas eu envie, mais vu que je voulais passer une soirée avec lui, je n'avais pas osé dire non. Je m'étais donc habillée assez rapidement avant de partir, j'avais enfilé un débarduer et un short avec une petite paire de ballerine.
Un cocktail à la main, je le vidais au fur et à mesure, je regardais Dwayne danser et des autres jeunes femmes qui commençaient à se rapprocher de lui, afin de le coller pour danser, je tentais de rester assez calme et faire celle que cela ne dérangeais pas, mais bien au contraire, j'avalais mon verre cul sec avant d'en recommander un autre, je jouais avec le petit parapluie, sincèrement d'habitude je m'amuse, à l'heure qu'il ait je serai ivre morte, certainement avec une ligne de coke dans le sang, peut-être que j'aurais même embrassé déjà deux ou trois hommes, mais là, absolument rien...
Un homme vînt s'asseoir vers le comptoir près de moi, je le dévisageais et à vrai dire, il me regarda de haut en bas, avais-je une touche avec cet homme ? On dirait bien ! Sauf qu'il n'était pas du tout mon genre, trop grand à mon goût, trop musclé aussi, une coupe de cheveux assez immonde et ne parlons pas de ses yeux qui étaient minuscules. Il commença à me parler, mais au fond de moi cela raisonnait plutôt en : blablabla... Je hochais la tête faisant semblant que je l'écoutais. Je me levais du tabouret, faisant glisser mon verre sous son nez je lui disais « Je vous offre la fin de mon verre et aussi, vous devriez aller voir la femme blonde là-bas, elle est moche, tout comme vous, alors ça fait un couple parfait ! » Je m'avançais vers la piste de danse, une fois face à Dwayne, je voyais les autres femmes qui me regardaient avec un regard assez bizarre. Avec un ton furieux je ne pus m'empêcher de leur dire « Quoi ?! Vous voulez une photo ? Allez chercher de la viande fraiche ailleurs ! » J'attrapais la main de Dwayne afin de l'entrainer dans un coin plus calme, les toilettes me paraissaient être une bonne idée, avant de voir un couple s'embrasser à pleine bouche et faire bien des autres choses... Je l'entraînais alors encore plus loin, me mettant face à lui je comprenais rapidement qu'il avait bien trop bu. « Tu vois je pensais que j'allais passer une bonne soirée avec toi, mais tu ne m'as même pas regardé de la soirée, j'ai limite l'impression d'être transparente, mais le pire dans tout ça, c'est que tu es complètement soul... Si j'avais pas envoyé balader les deux pétasses blondes, tu aurais fini ta nuit avec l'une d'elle ou peut-être même les deux ! » Je soupirais à la fin de ce que je venais de dire.

J'avais bu, sûrement trop, peut-être pas assez. A vrai dire, Pomy ne semblait pas motivée pour cette soirée et je n'avais pas envie de me contenir ce soir, je voulais profiter. Profiter sans avoir à me soucier de quoi que ce soit, notre histoire étant compliqué, j'aimais m'évader de temps à autre sans me soucier dans conséquences de mes actes. Je dansais donc, me frottant tel un petit puceau contre deux belles demoiselles - celles ne se gênaient pas pour me faire comprendre qu'elle m'appréciait tout autant l'une que l'autre. Se sentir apprécié, désiré était une bonne chose. Une chose que tout homme appréciait, qui pouvait le nier ? La musique m'entraînait, m'obligeait à me laisser totalement transporté par son rythme. Mes mains se baladaient sans gêne sur les corps des femmes, s'arrêtant toujours, avec un malin plaisir, sur leur fesses. Je ne pensais à rien, mis à part de l'excitation qui montait petit à petit en moi. La vision d'une petite brune, aux yeux bien plus noirs que d'ordinaire me stoppa dans ma danse, Pomy. Elle ne semblait pas contente, pas contente du tout. Et moi, je me pinçais la lèvre, légèrement amusé par cette situation - pauvre crétin, l'alcool m'a toujours rendu bien plus con que je ne pouvais l'être en temps ordinaire. Quoi ?! Vous voulez une photo ? Allez chercher de la viande fraiche ailleurs ! glissa-t-elle tout en attrapant ma main afin de m'entraîner dans les toilettes. Les toilettes, pouquoi les toilettes ? Mon regard se posa sur un jeune couple s'embrassant. Il y a des chambres pour ça ! m'empressai-je de dire. Pomy m'attira plus loin, m'obligeant alors à lui faire face. Tu vois je pensais que j'allais passer une bonne soirée avec toi, mais tu ne m'as même pas regardé de la soirée, j'ai limite l'impression d'être transparente, mais le pire dans tout ça, c'est que tu es complètement soul... Si j'avais pas envoyé balader les deux pétasses blondes, tu aurais fini ta nuit avec l'une d'elle ou peut-être même les deux ! Boum, je ne pouvais pas m'empêcher de sourire tout en glissant mes mains sur ses fines hanches. Je l'attirai contre moi tout en lui adressant un de mes plus beaux sourires. Tu sais que tu es magnifique que tu es en colère ? glissai-je tout en déposant une de mes mains sur le bas de son dos, sous son teeshirt. Je me mis alors doucement à rire, amusé par moi-même. Ca fait vraiment mauvaise comédie romantique de dire ça. Je m'approchais d'elle, déposant mes lèvres contre sa nuque que je m'empressais de dévorer avec une tendresse que je n'accordais qu'à Pomy. Je lui mangeais littéralement la nuque tout en la collant délicatement contre un mur. Je relevai mon visage vers le sien, plongeant mon regard à la recherche du sien. Embrasses-moi demandai-je, d'un sourire niais. Je m'amusais à présent à faire glisser mes lèvres contre les siennes, les frôlant afin de faire naître le désir en Pomy. Cette attitude n'allait pas lui plaire, mais sous l'emprise de l'alcool, je ne me retenais pas - elle le savait, et n'était pas mieux.

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D'abord j'avais tenté de rester zen, même si cette méthode ne fonctionnait pas du tout sur moi et je doutais d'ailleurs qu'un jour cette méthode fonctionne... Alors que je m'étais levée du tabouret, complétement furieuse, prête à m'énerver contre Dwayne qui pourtant en dansant avec ces jeunes femmes, semblait si innocent, mais à mes yeux il était loin d'être innocent, cela ne me plaisais pas du tout et j'allais lui faire comprendre. Je l'avais attiré vers les toilettes, mais impossible, car un couple s'apprêtait carrément à coucher ensemble devant tout le monde, cette situation faisait presque sourire Dwayne, je trouvais enfin un lieu tranquille, me mettant à parler, je me demandais si ce que je venais de dire aller vraiment rentrer dans le crâne de Dwayne et qu'il allait comprendre mes paroles, car avec tous les verres qu'il s'était enfilé, j'en doutais ! Un petit sourire sur ses lèvres, il plaça ses mains sur mes hanches, alors aucune réponse, juste ça ? Non il se foutait de moi, il tentait de me faire blague en faisant semblant de ne pas avoir compris ? J'étais contre lui, à vrai dire je ne me débattais pas, car je n'en avais pas vraiment envie au fond de moi. Tu sais que tu es magnifique que tu es en colère ? Monsieur s'est enfin décidé à me répondre, mais pas la réponse à laquelle je m'attendais, il continua ses petits gestes, en passant l'une de ses mains sous mon t-shirt. Ca fait vraiment mauvaise comédie romantique de dire ça. Il osait dire ça ? Il avait bien de la chance de compter plus que tout pour moi, car cela aurait été un autre homme, il aurait certainement déjà pris une gifle. Sérieusement tu... Impossible de continuer ce que je voulais dire, car mon souffle fut comme coupé quand je sentais ses lèvres contre ma nuque, il me colla contre le mur, continuant de déposer des baisers sur ma nuque, cherchait-il à se faire pardonner de cette manière ? Ou peut-être qu'il ne tentait même pas de se faire pardonner... Il releva son visage, mon regard se plongeant dans le sien. Embrasses-moi Il était complètement ivre, à mon plus grand désespoir, je préférais largement quand il était sobre. Il me tentait de plus en plus, je faisais tout pour me retenir de l'embrasser, mais combien de temps j'allais tenir ? Ses lèvres frôlaient les miennes, il savait très bien comment il fallait s'y prendre avec moi, s'il avait été sobre, c'est certain que je lui aurai déjà sauté dessus, afin de l'embrasser... Je ne t'embrasserai pas ! Tu t'es limite enfilé une bouteille de vodka, à tes yeux ce soir je ne suis qu'un morceau de viande comme toutes les autres pétasses qu'il y a ce soir. J'évitais de vraiment le regarder, car je savais que je finirai par craquer sinon. Bon pour une fois que c'était lui qui était dans un pire état que moi je devais avouer que je ne suis pas mieux habituellement, devais-je lui pardonner ? Non ! C'était bien trop facile pour lui de s'en tirer comme ça, nous ne sommes peut-être pas en couple, mais ma jalousie ne se contrôle et rien que de l'avoir vu avec ses autres femmes, n'avait fait que de me rendre encore plus jalouse...

Elle s'était énervée, m'avait attiré loin de tout et venait de piquer une belle colère, dont je n'avais écouté que très peu de mots. Je m'étais attardé sur sa beauté, tout en me pinçant avec soin le coin de la lèvre.Tu sais que tu es magnifique que tu es en colère ? Je la caressai avec douceur, ignorant ses sourcils froncés et sa mine mécontente. Ça fait vraiment mauvaise comédie romantique de dire ça. Je m'approchai encore d'elle, un sourire malicieux s'esquissait sur mon visage, mes lèvres prirent alors possession de sa nuque, la parcourant alors avec une douceur impressionnante - douceur que je n'offrais qu'à Pomy, j'en étais incapable pour les autres femmes. Sérieusement tu... Je ne réagissais pas, m'assurait d'exercer sur elle du plaisir, j'avais envie de la sentir frissonner, de l'entendre frémir. Mais rien, rien n'y faisait. Elle gardait constamment ce visage fermé. Tant pis, je la collai contre mur, laissant mes mains se balader sur son ventre et sur ses hanches. Son peu de réaction m'obligea à relever le visage et à déposer mon front contre le sien. Embrasses-moi J'avais envie d'elle, toujours lorsqu'elle je m'enivrait, toujours même lorsque j'étais sobre - cette femme possédait sur moi une emprise des plus impressionnantes. Sauf, que je n'étais qu'un sombre crétin incapable de le lui avouer, même en ayant bu. Je frôlais sans lèvres, essayant par dessus de réveiller en elle du désir, je la connaissais mieux que quiconque et je savais qu'en ce moment-même, elle ne partageait pas mes envies. Je ne t'embrasserai pas ! Tu t'es limite enfilé une bouteille de vodka, à tes yeux ce soir je ne suis qu'un morceau de viande comme toutes les autres pétasses qu'il y a ce soir. Je me décalai, vexé par ce qu'elle venait de me dire. Et après tu oses dire me connaître, t'es conne, Pomy, parfois. Je n'ai jamais mâché mes doigts, j'ai toujours dit ce que je pouvais penser sans jamais contrôler quoi que ce soit, mes pensées s'échappaient toujours. Je me glissai à ses côtés, relâchant mon visage contre le mur. Si tu n'étais qu'un morceau de viande, je n'aurai pas pris le soin de te demander de m'embrasser. Je l'aurais fait. Je possédai un don, un véritable don : devenir sérieux lorsque la situation le demandait, même après avoir bu, bien trop. Je t'imagine bien devant ta tranche viande "bonjour petit bébé, acceptes-tu que je te mange ?" et là, évidemment, ta petite tranche va te dire que oui, parce qu'elle est polie murmurai-je tout en déposant mes fesses à même le sol. Je posai mes mains contre mes cuisses. Si t'étais capable de comprendre ça, on aurait pas cette discutions. Je jouai à présent avec une ficelle qui dépassait de mon jean, ou du moins, je tentais de montrer que j'allais bien, que j'en avais strictement rien à foutre que je venais la traiter de conne et de comparer une partie de jambe-en-l'air avec une tranche de jambon. Elle avait été capable de me foutre mal en très peu de secondes, genre très mal - l'alcool est capable de te rendre joyeux, très joyeux mais c'est également un sale type qui te rend susceptible, et amplifie chacune de tes émotions.

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Il faut avouer que j'ai un grand don : la capacité de foutre en l'air n'importe quoi, en effet je n'étais pas la mieux placer pour faire la leçon en ce moment même à Dwayne, sauf que je le faisais, je me laissais aller sur mes paroles, lâchant des choses que j'allais peut-être regretter par la suite, mais j'étais sous l'excès de la colère, la jalousie... Il était collé à moi, son front contre le mien, mais alors que je venais de lui dire que je n'étais pas un morceau de viande comme les autres filles de la boîte de nuit, j'eus l'impression de le vexer, car il se décala. Et après tu oses dire me connaître, t'es conne, Pomy, parfois. Je soupirais à cette phrase, le fusillant du regard, il devenait tout d'un coup sérieux et malgré que cela ne le faisait pas dire des choses agréables au moins il n'était pas dans son mode « loveur ». Si tu n'étais qu'un morceau de viande, je n'aurai pas pris le soin de te demander de m'embrasser. Je l'aurais fait. Il n'avait pas tord, je ne pouvais pas dire le contraire, s'il y a bien une chose que je déteste c'est quand la discution tourne mal avec Dwayne, me prendre la tête avec lui, c'est ce que j'évite souvent, sauf que ce soir, j'avais presque l'impression que se serait impossible. Je t'imagine bien devant ta tranche viande "bonjour petit bébé, acceptes-tu que je te mange ?" et là, évidemment, ta petite tranche va te dire que oui, parce qu'elle est polie. Malgré que ce n'était pas le moment, je ne pus m'empêcher de lâcher un petit rire, imaginant la situation assez comique. Il commença à s'asseoir sur le sol. Si t'étais capable de comprendre ça, on aurait pas cette discutions. Je secouais la tête négativement, il s'amusait tranquillement avec une petite ficelle de son jean, je m'accroupissais donc afin d'être à sa hauteur. Je t'accorde de dire que je suis conne, tu peux même dire que je suis une pauvre fille quoi boit et se drogue pour noyer son chagrin. Je reconnaissais mes tords ? Effectivement ! Je tentais de croiser son regard, mais il était bien trop amusé avec son espèce de morceau de ficelle, je prenais donc l'une de ses mains pour qu'il arrête de jouer. Je ne suis pas très bien placée pour te faire la morale ! Mais je déteste te voir comme ça. Je lui fis un petit sourire, espérant qu'il n'allait pas rester assis dans ce lieu encore longtemps. Je glissais ma main dans ses cheveux pour le décoiffer, j'adorais l'embêter en touchant ses cheveux. Je voulais éviter que cela se finisse en grosse dispute entre nous. Allez rigole je t'en supplie, ne me force pas à te faire des chatouilles ! Je commençais à fatiguer au niveau de mes genoux, à force d'être accroupi, j'avais l'impression que mes genoux allaient finir par craquer et que j'allais tomber. Je finissais donc par me relever, lui tendant ma main. tu ne te relèves pas, je vais devoir partir et rentrer toute seule à pieds dans le froid, sans personne pour me protéger... Et puis peut-être même que tu me reverrais plus jamais, car je me perdrais en chemin, ou que quelqu'un m'enlèverait pour ensuite me tuer. Un petit scénario dramatique ? Oui, malgré que je sais me défendre contre les violents hommes pervers, il m'arrivait parfois d'avoir peur quand j'étais dans les rues, surtout en pleine nuit.

Je t'imagine bien devant ta tranche viande "bonjour petit bébé, acceptes-tu que je te mange ?" et là, évidemment, ta petite tranche va te dire que oui, parce qu'elle est polie. Elle se mit à rire, réaction que j'aurai d'ordinaire approuvé mais qui aujourd'hui m'agaçait plus qu'autre chose. Je boudait, les sourcils froncés, les doigts concentrés sur ce bout de ficelle qui osait dépasser de mon jean. Je jouai avec ma lèvre, également, j'en avais marre - pomy et moi étions des rois, toujours à se prendre la tête plutôt que de se dire je t'aime, vous avez le droit de nous trouver ridicule, nous le sommes. Je t'accorde de dire que je suis conne, tu peux même dire que je suis une pauvre fille quoi boit et se drogue pour noyer son chagrin. Elle me fit soupirer, voilà qu'elle se rabaissait, se traitant elle-même de conne. Tout pour m'énerver. Je ne suis pas très bien placée pour te faire la morale ! Mais je déteste te voir comme ça. Son sourire ne provoqua pas le mien - je le retenais, ne voulant pas lui faire ce plaisir. Elle glissa sa main dans mes cheveux, me fit grogner par ce geste, je détestais sentir le moindre doigt s'infiltrer au sein de ma chevelure, pas même ceux de pomy. Allez rigole je t'en supplie, ne me force pas à te faire des chatouilles ! Mon silence l'agaçait, tant mieux, c'était mon but. Je relâchai mon visage contre le mur, esquissait un semblant de sourire, un putain de sourire malicieux. tu ne te relèves pas, je vais devoir partir et rentrer toute seule à pieds dans le froid, sans personne pour me protéger... Et puis peut-être même que tu me reverrais plus jamais, car je me perdrais en chemin, ou que quelqu'un m'enlèverait pour ensuite me tuer. Je me redressai aussitôt, marmonnant un tas d'insultes lui étant détester. J'étais réellement agacé par cette emprise qu'elle possédait sur moi, je craquais toujours et était incapable de lui dire non plus de dix minutes. J'attrapai sa main, l'attirant vers moi et déposait à nouveau mes lèvres contre les siennes. Qu'on te kidnappe, je serais débarrassé lui soufflai-je avant de lui voler à nouveau un baiser. On rentre, et laisses-moi dormir avec toi. Je l'attirai hors de l'endroit, la ramenant au sein de la boîte. Je n'avais plus envie de danser, simplement de quitter cet endroit, cette situation et de me sentir mieux. Je rejoignais rapidement le vestiaire afin d'y récupérer nos vêtements. Une fois ma veste mise, je lançai un petit clin d'œil à la personne tenant le vestiaire et sortais de la boîte. Mes mains ne mirent que très peu de temps pour pendre place dans mes poches, je l'attendais. Le froid me rattrapa aussitôt, provoqua un léger frisson dans mon corps. Grouilles ! J'ai froid, j'ai mal aux pieds. A cette allure, je dormirais avant que tu te fasses violer ! criai-je à l'intention de ma meilleure amie, ce qui m'attira le regard de tous. J'adressai un beau fuck à l'un d'entre eux avant de m'appuyer contre un poteau.

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Peut-être que je n'aurais pas dû rigoler à sa remarque sur la tranche de jambon ? J'avais l'impression que plus je lui parlais et plus je l'agaçais, je continuais donc de parler, il finit par se redresser, à mon plus grand bonheur. Je l'entendais marmonner, ne décryptant pas vraiment ce qu'il disait, mais il finit heureusement par arrêter afin d'attraper ma main pour déposer ses lèvres contre les miennes, lorsqu'il détacha ses lèvres des miennes, je ne pus m'empêcher de sourire comme une petite fille. Qu'on te kidnappe, je serais débarrassé. Je fronçais les sourcils, lui adressant un regard noir, il m'embrassa de nouveau. On rentre, et laisses-moi dormir avec toi. Je hochais la tête positivement pour lui répondre que j'étais d'accord. Il m'attira jusqu'aux vestiaires de la boîte de nuit afin de récupérer nos vestes, il enfila sa veste très rapidement, alors que moi je galérais légèrement pour l'enfiler, ayant perdu la deuxième manche, et oui effectivement je n'ai pas de chance ce soir ! Il était déjà sorti dehors et je l'entendais crier Grouilles ! J'ai froid, j'ai mal aux pieds. A cette allure, je dormirais avant que tu te fasses violer ! Je levais les yeux au ciel, m'avançant vers lui, je ne lui adressais aucun regard et je commençais déjà à partir sans même regarder s'il me suivait, mais je ne pus m'empêcher de me retourner et de m'arrêter pour crier à mon tour. Tu n'étais pas obligé de me raccompagner, tu pouvais rester là-bas, si ça te dérange ! Puis je me tournais afin de continuer à marcher, commençant à aller de plus en plus vite, je ne savais même pas s'il avait fait demi tour, je ne m'en fichais pas, bien au contraire, je n'avais qu'une envie qu'il me suive, même si je prétendais le contraire... J'avais l'impression que plus les jours passaient, voir les mois et plus notre relation devenait étrange, est-ce qu'un jour tout sera plus simple avec lui ? Je ne savais pas du tout, mais je l'espérais, car au fond c'est ce que je désire le plus au monde. Dans ces moments où je m'énerve, je n'ai qu'une envie lui crier que je l'aime, que c'est sans doute l'une des meilleures choses dans ma vie, mais aussi la pire, l'amour ? Que signifie vraiment ce mot ? Autour de moi la plupart des gens on finit par se déchirer, laissant souvent place à de la haine et je ne supporterais pas de finir par haïr Dwayne, il n'est pas le simple mec qu'une fille peut aimer pour s'amuser, passer du bon temps, non Dwayne c'est plus que à à mes yeux, il est celui qui connait mon passé, à qui j'arrive à tout dire, celui a qui j'accorde toute ma confiance, cela à qui je peux exprimer mes émotions si je vais mal, lui il a un peu un grand espace VIP dans ma vie, car il a des tonnes davantage que les autres n'ont pas ! Mais je suis têtue et malgré que l'envie de me retourner, lui sauter dessus et l'embrasser, lui crier que je l'aimais, je me retenais.

J'avais froid, j'étais fatigué, j'étais sûrement un peu triste - la raison m'échappait, c'était sûrement causée par l'alcool. Grouilles ! J'ai froid, j'ai mal aux pieds. A cette allure, je dormirais avant que tu te fasses violer ! lui criai-je, impatient de la voir me revenir. Je fixai tout ceux qui m'avaient dévisagé, un ras-le-bol d'être observé et jugé sans raison. J'avais la sensation qu'ils me dévisageaient tous, qu'une mauvaise sensation offerte pas l'emprise qu'avait l'alcool sur moi. Pomy s'approcha de moi, toujours avec ce visage énervée. Tu n'étais pas obligé de me raccompagner, tu pouvais rester là-bas, si ça te dérange ! Je ronchonnais, il était évident que je reste auprès d'elle. Quel con serait capable de la laisser, seule, pour rentrée ? Pas moi, même ivre, cela était tout simplement impossible. Je tapais dans un cailloux qui se trouvait près de moi, et je suivais sa marche - je restais toujours deux mètres derrières elle. Je ne voulais pas la dépasser, ni même rattraper son allure. Je préférais rester seul, loin d'elle, qui a su gâché notre soirée en un battement de cil. Une demi-heure plus tard, on arrivait devant chez elle. Je me glissai alors auprès d'elle, me précipitant vers sa porte pour appuyer mon dos dessus. J'avais décidé de faire mon petit chieur, comme elle, elle l'avait fait précédemment en ébouriffant mes cheveux. Je la fixai, un sourire mesqui s'esquissait à nouveau sur mon visage. Cette fois, tu m'embrasses, sinon je te laisse sur le palier. Elle était chez elle, et donc en droit de me foutre une claque, de me balancer contre le sol afin d'entrer chez elle. Nous venions de marcher, pendant une demi-heure, sans se parler, sans se regarder, sans même prendre le temps de s'échanger un regard ; nous étions maintenant en droit de se laisser aller sous nos envies, non ? Moi, en tout cas, je la voulais. Et je n'avais pas envie d'ignorer ce désir, ou de faire comme-ci je n'en avais strictement rien à foutre d'elle. Parce que tu en as envie, tu en as toujours eu envie. Je lâchai mon visage contre le mur, souriant, tel un pauvre crétin. L'alcool s’atténuait petit à petit, seulement la fatigue prenait sa place et ne me rendait pas plus intelligent. Je lui tendais mes mains, j'avais envie de la sentir contre mes bras, de lui faire un câlin sans forcément aller plus loin - eh oui, mon esprit ne pensait pas toujours par mon sexe, et elle était bien une des rares pour qui, sexe rimait avec sentiment.

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J'avais réussi à gâcher sa soirée, mais j'aurai regretté ensuite de ne rien avoir fait, si je n'étais pas intervenue. Il m'avait crié de me dépêcher, et je lui avais dit que si ça le dérangeait autant, il n'avait pas rester dans la boîte de nuit, je me mettais à marcher rapidement, il devait être derrière en train de marcher. Je commençais à en avoir marre de ce silence, heureusement on arriva enfin devant la porte d'entrée de mon appartement, mais je fus prise de surprise lorsqu'il se mit pile devant la porte. Cette fois, tu m'embrasses, sinon je te laisse sur le palier. Je rigolais à cette remarque. Parce que tu en as envie, tu en as toujours eu envie. Ce n'était pas faux, à chaque seconde où j'étais avec lui, j'avais cette envie de l'embrasser, partager des moments inoubliables avec lui. Il a une telle emprise sur moi, c'est une emprise positif, je ne serai comment la décrire, mais je sais que c'est une bonne chose. Tu serais donc capable de me laisser dehors dans le froid ? Et en plus tu devrais toi aussi rester dans le froid ! J'approchais mes lèvres des siens, déposant un baiser, remarquant qu'il me tendait ses mains, je me faufilais contre lui, déposant ma tête contre son torse, appréciant d'être contre lui. Cependant même si j'étais bien en ce moment même, j'avais envie de rentrer. On devrait peut-être rentrer non ? Je me reculais de ses bras, cherchant mes clés dans ma poche, je les retrouvais enfin, c'était énorme le bordel qu'il pouvait y avoir dans les poches de ma veste, la prochaine fois je devrais plutôt penser à prendre un sac. Je lui fis un petit signe pour qu'il se décale, afin que je puisse ouvrir la porte d'entrée. J'entrais la clé dans la serrure, j'ouvrais la porte, rentrant, je lui indiquais aussitôt d'entrer, je fermais la porte, bah oui c'était mieux de la fermer, j'aurai l'air bête si je laissais la porte ouverte en pleine hiver je pense que les voisins me prendraient vraiment pour une folle qu'il faut interner en toute urgence. Bref, je retirais ma veste que je posais sur le porte manteau, je regardais un instant Dwayne, je lui fis un petit sourire, étais-je en train de me retenir une fois de plus de l'embrasser ? Oui, effectivement ! Mais je me laissais aller, je l'embrassais, laissant parcourir mes mains sur son torse. Puis je m'arrêtais pour parler. Je suis vraiment désolée pour ce soir, je n'aurai pas dû réagir comme ça ! Mais c'était plus fort que moi...

Cette fois, tu m'embrasses, sinon je te laisse sur le palier. Parce que tu en as envie, tu en as toujours eu envie. Je la fixais, ne désirant pas lâcher son regard afin d'obtenir ce que je désirais : je connaissais Pomy, elle n'était pas capable de résister plus de trois minutes et quarante-trois secondes. Je lui tendais mes mains, et ne souriais pas, je préférais garder une expression neutre, de je m'en-foutisme alors que ce n'était pas le cas. Tu serais donc capable de me laisser dehors dans le froid ? Et en plus tu devrais toi aussi rester dans le froid ! J'haussai les épaules, j'étais capable de nombreuses choses, comme de la laisser dehors, sur le palier de sa maison - à partir du moment où elle ne risque pas plus qu'un mal de gorge. Elle attrapa mes lèvres pour un bref baiser et déposa son visage sur mon torse. Je glissai aussitôt mes bras autour de sa taille, laissant mes mains s'aventurer sans gêne en dessous de son tee-shirt afin d'y trouver le contact de sa peau. On devrait peut-être rentrer non ? Pomy brisa notre étreinte afin d'ouvrir sa porte d'entrée. Je restais inerte, attendant impatiemment qu'elle nous ouvre la porte. Une fois fait, j'entrai, gardant mes mains au fond de mes poches. Aucun de ses gestes n'échappaient à mon intention, j'en profitai, tentant de ne pas en perdre la moindre miette. Elle se décida enfin à m'embrasser, je prolongeai avec douceur, tentant au maximum de lui procurer du plaisir, et pourquoi pas, quelques frissons. Je suis vraiment désolée pour ce soir, je n'aurai pas dû réagir comme ça ! Mais c'était plus fort que moi... Je posai mes mains sur le bas de son dos, les posant parfois sur ses fesses. Demain, j'en rigolerai. J'approchais mes lèvres des siennes, me contentant de les frôler et d'attraper au passage, son souffle. Tu crois que tu peux essayer de rendre la soirée plus agréable qu'elle n'a commencé ? Je mordillai le coin de sa lèvre pour ensuite prendre du recul. J'étais joueur, un grand joueur, qui aimait le sexe - davantage avec Pomy. Sauf que je n'aimais pas l'avouer, et n'étais pas prêt à clairement affirmer à Pomy que je la désirai, là, maintenant, tout de suite et qu'il en avait toujours été ainsi. Je reculais de quelques pas afin de trouver appui contre le mur, j'attirai Pomy dans mes bras, l'obligeant à coller son ventre à mon torse. Pourquoi t'es pas capable de me dire que tu m'aimes.. plutôt que de m'engueuler que j'en touche une autre murmurai-je, sans être capable d'accompagner cette parole par le moindre sourire. Mes doigts glissèrent le long de sa joue.

WHY I CAN'T GO IN THE PAST ?
with Dwayne-Louka McCalloway
Je n'avais pas pu m'empêcher de m'excuser pour avoir ruiner sa soirée, à force de ruiner la soirée des gens, plus personne ne voudra venir avec moi ou même me parler, sauf que heureusement Dwayne avait pris l'habitude de mon mauvais comportement. Demain, j'en rigolerai. Heureusement pour moi, je lui souriais, il effleura mes lèvres je fermais un instant les yeux, appréciant ce petit moment au plus profond de moi, j'adorais me retrouver seule en tête à tête avec lui, sans personne autour de nous pour créer une quelconque dispute. Tu crois que tu peux essayer de rendre la soirée plus agréable qu'elle n'a commencé ? Il mordilla ma lèvre, s'adossant contre le mur derrière lui, m'attirant contre lui, c'est avec un petit sourire aux lèvres que je lui répondais. Je peux rendre ta soirée parfaite ! Je m'approchais de son cou, laissant quelques instants mes lèvres y déposer des baisers, remontant jusqu'à ses lèvres, je laissais un dernier baiser. Pourquoi t'es pas capable de me dire que tu m'aimes.. plutôt que de m'engueuler que j'en touche une autre. Cela me glaça le sang en quelques secondes, je faisais une légère grimace, mon coeur s'accéléra en quelques secondes, lui il avait déjà eu le courage autrefois de me le dire, mais moi... jamais, jamais je n'avais réussi à lui dire que je l'aimais, décrire mes moindres sentiments, étais-je une grande malade pour ne pas réussir à lui dire ? Oui, je suis complètement dingue ! Je l'aime et j'ai toutes mes chances, ce n'est pas comme ci que je savais que je n'avais pas mes chances, mais j'ai peur, peur de l'avenir, depuis mon enfance, rien n'a fonctionnait dans le bon sens, ma mère n'a jamais été un grand modèle pour moi, la preuve une fois elle a fait une comparaison de l'amour avec une bouteille de vodka, je n'en ai jamais vraiment compris le sens, mais je crois que le message qu'elle avait voulu me faire passer c'est que l'amour c'est toxique. J'ai cette peur en moi de finir par faire souffrir Dwayne, mais n'est-ce pas ce que j'arrive à très bien faire malgré que nous ne sommes pas ensemble ? Que pouvais-je lui répondre, je laissais les secondes défiler, restant comme bloqué devant lui, incapable de faire le moindre geste. Le pire c'est que je n'arrive jamais à parler de ce que je ressens, j'ai toujours pris l'habitude de tout garder tout au fond de moi, seul Dwayne arrivait à savoir quand j'allais mal, sinon je ne lui disais jamais, tentant de garder le sourire, beaucoup de personnes pensent que je vais très bien, alors qu'au fond de moi, c'est le néant, ou plutôt une vague de sentiments noirs m'envahissant, je m'accroche trop à mon passé douloureux, c'est sans doute l'un de mes pires problèmes. Je... je n'y arriverai jamais, parce que je ne suis pas normale, les autres sont capables de dire qu'elles aiment une personne, capable de prononcer ces putains de mots, et j'aimerai être comme elles, pouvoir le dire facilement, mais... tu sais je ne veux pas tu souffres, qu'il t'arrive quelque chose à cause de moi, je ne suis pas la fille idéale... Je me suis créée cette stupide carapace avant même que ma mère ne meurt, mais à sa mort, elle n'a fait que s'endurcir, depuis quand n'ai-je pas pleurer ? C'est la question que je me pose, aux yeux de certaines personnes, je suis comme une fille vidée, insensible, mais je ne le suis pas et heureusement d'ailleurs. Je ne veux pas te perdre ! Je n'exprimais aucune émotion sur mon visage, on aurait presque l'impression que ce je disais je ne le pensais pas du tout, sauf que je le pensais.

Je la collais contre moi, attirant son ventre contre le mien. J'aimais la sentir contre mon corps, j'avais besoin d'avoir une relation avec elle, de ne pas la perdre, de réaliser sans cesse que notre relation était concrète, pas qu'une simple futilité. Pourquoi t'es pas capable de me dire que tu m'aimes.. plutôt que de m'engueuler que j'en touche une autre. Je caressais sa joue, comme pour me faire que cette remarque n'étais si dure, que ce n'était qu'une simple et banale réflexion et que cela n'allait pas énerver Pomy. Je la connaissais, par coeur. Sa réaction fut celle que j'attendais, pas celle que je pourrais néanmoins espérer. Je... je n'y arriverai jamais, parce que je ne suis pas normale, les autres sont capables de dire qu'elles aiment une personne, capable de prononcer ces putains de mots, et j'aimerai être comme elles, pouvoir le dire facilement, mais... tu sais je ne veux pas tu souffres, qu'il t'arrive quelque chose à cause de moi, je ne suis pas la fille idéale... Je relâchai ma tête contre le mur, ne perdant pas une miette de ses mots que je buvais en silence, elle me fit sourire par son "je ne suis pas la fille idéale". Je le savais, mais je ne lui avais en aucun cas demander son avis, on ne choisit pas l'amour, c'est l'amour qui nous choisi et si j'avais pu, j'aurais opter pour une relation bien moins compliquée que celle qui nous entretenions. Je ne veux pas te perdre ! Je me redressai, plaquant mes mains sur ses joues. Elle semblait à présent si peu vivante, à croire que je lui avait ôter sa joie de vivre par cette parole. Je m'en voulais, cela me faisait culpabiliser de lui en demander autant. Mais, j'en avais besoin, j'avais besoin de me dire que je n'étais pas en train d'emprunter une autoroute menant droit à un mur, un choc redoutable. Fais-nous confiance, Pomy. Je la retournai, la collant alors contre le mur et m'appuyait contre son corps fin. Ma main pénétra sous son tee-shirt, se déposant doucement dans le creux de ses reins. Et tout ira bien.. murmurai-je, comme pour me rassurer moi-même que notre relation n'allait pas venir pas disjoncter. Je la regardai, ne sachant plus tellement comment agir, que faire, et pourquoi.

Spoiler:

WHY I CAN'T GO IN THE PAST ?
with Dwayne-Louka McCalloway
De nombreuses fois j'avais voulu lui dire que je l'aimais, mais de nombreuses fois j'avais échoué me résignant à ne rien dire. Quand nous étions tout petit, j'aimais lui dire que je l'aimais, bien qu'à l'époque nous n'avions pas conscience de ce que l'amour était vraiment, puis en grandissant dire que je l'aimais, est devenu un très gros problème. J'étais complétement dévastée par sa demande, je voulais lui faire plaisir et finir par lui dire, sauf qu'une fois de plus je n'y étais pas parvenue. Je n'avais pas envie de le perdre, à cause de mon incapacité à m'exprimer sentimentalement, mais si ça continuait comme ça, dans deux ans ou même avant, il finira par se mettre avec quelqu'un qui réussira à lui montrer l'amour qu'elle porte pour lui, sauf que ce jour-là, je pense que je souffrirai énormément, cela se ressentirait comme le plus gros de mes échecs dans ma vie, car je le perçois comme l'homme de ma vie, pas le simple mec avec qui je veux une petite aventure et connaître le bonheur rapidement, non je veux quelque chose de vrai. Fais-nous confiance, Pomy. Ses mains sur mes joues, je m'efforçais presque de sourire, il me colla contre le mur, je laissais glisser mes mains au niveau de ses épaules. Et tout ira bien.. Je l'espérais que tout irait bien. Tu sais sans toi, je ne serais rien, tu donnes un sens à ma vie, car je crois que sans toi, je serai déjà morte ou quelque chose dans ce genre... Quand je vais mal, la seule chose à laquelle je m'accroche, c'est Dwayne, je me remémore les meilleurs moments passés avec lui, et ça parvient parfois à me redonner le sourire. J'attrapais l'une de ses mains, afin de l'entraîner avec moi jusqu'à ma chambre, une fois dans la chambre, je m'empressais de l'embrasser, j'étais presque en train de contourner la conversation que nous avions juste avant, mais je ne lui donnerai certainement pas la réponse qu'il attend ce soir, à mon plus grand regret, je stoppais le baiser afin de parler. Je sais que me supporter toute une année entière, ça ne doit pas facile, donc demain si tu es d'accord, bien évidemment, je te propose de m'occuper de toi durant toute une journée, j'inclue donc un petit-déjeuner au lit, une longue douche ou même un bain avec moi ensuite, un petit massage autant de temps que tu voudras. A vrai dire, cela me ferais énormément plaisir qu'il accepte ma proposition et bien sûr je tiendrai ma parole, je m'occuperai bien de lui demain.

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Fais-nous confiance, Pomy. J'essayais de la rassurer tout en me rassurant moi-même, par la même occasion. Et tout ira bien.. Je posai mon front contre la sien, par besoin d'être proche d'elle, surtout dans une discutions de ce genre. Tu sais sans toi, je ne serais rien, tu donnes un sens à ma vie, car je crois que sans toi, je serai déjà morte ou quelque chose dans ce genre... Je souriais, elle avait su me dire les bons mots. Elle n'étais peut-être pas capable de m'avouer ses sentiments, de me dire un bref et cout "je t'aime", même d'un simple murmure, mais cela me suffisait. Du moins, j'allais m'en contenter, ce soir. Elle attrapa mes mains, m'entraînant avec elle dans sa marche jusqu'à sa chambre. Je dois avouer qu'à la vue de son lit, de l'obscurité, mon désir repris place. Mais je le contenais, ne voulant pas la brusquer, à cause de notre "discutions". Sauf qu'elle m'embrassa, ramenant mes idées en premier plan dans mon esprit. Je prolongeai, me pinçant directement la lèvre lorsqu'elle prit du recul. Je sais que me supporter toute une année entière, ça ne doit pas facile, donc demain si tu es d'accord, bien évidemment, je te propose de m'occuper de toi durant toute une journée, j'inclue donc un petit-déjeuner au lit, une longue douche ou même un bain avec moi ensuite, un petit massage autant de temps que tu voudras. Je fronçais les sourcils, surpris par cette proposition. Pomy savait me surprendre, et là, je dois avouer que j'étais plus qu'agréablement étonné, heureux de cette ingénieuse idée qu'elle venait d'avoir. J'ai le droit d'avouer un avant goût, maintenant ? Je me laissais tomber sur le bas de son lit, prenant appui sur mes bras que j'avais pris le soin de tendre derrière moi. Et ça me fait plaisir de constater que tu es encore capable d'avoir de merveilleuses idées.. glissai-je tout en riant, j'étais fier de ma connerie. J'ai toujours aimé la taquiner, histoire de l'énerver et de la rendre bien plus sauvage - tout comme je l'aime.

WHY I CAN'T GO IN THE PAST ?
with Dwayne-Louka McCalloway
Je lui avais proposé de passer une journée entièrement à m'occuper de lui, il se laisse tomber sur le lit, se retenant sur ses bras. J'ai le droit d'avouer un avant goût, maintenant ? Je faisais mine de réfléchir pour voir si j'allais lui donner un avant goût, je passais donc ma main sur son torse, le forçant donc à s'allonger sur mon lit entièrement, j'éparpillais son cou de baiser. Et ça me fait plaisir de constater que tu es encore capable d'avoir de merveilleuses idées.. Je rigolais à cette remarque, je lui retirais son t-shirt. Je recouvrais tout le long de son torse de baiser, remontant ensuite jusqu'à ses lèvres. J'apprécie de plus en plus ton corps, je vais finir par te séquestrer chez moi pour t'avoir quand je le désire ! Je lui souriais, laissant mes lèvres se coller sur toutes les parcelles de son visage. Quand j'avais cinq ans, on s'amusait tout simplement avec du sable, dans le jardin à courir, on dessinait ensemble, on rigolait sans cesse, mais jamais, je n'aurais pensé qu'un jour j'aurais été aussi proche de lui, malgré que plus on grandissait, plus les gens autour de nous disaient qu'on était ensemble, on ressemblait presque à un petit couple, alors qu'on était juste les meilleurs amis du monde, après ce n'est pas tous les meilleurs amis qui s'embrassent et même plus ensemble, mais je ne vais pas m'en plaindre, car malgré que nous ayons une histoire très compliqué, je dois avouer que j'aime ça, enfin j'aime le fait que je l'aime, car je sais très bien que c'est réciproque, qu'avec lui je ne perds pas mon temps comme je le perdrais avec des autres hommes.
J'avais envie de l'embêter, je passais donc mes mains dans ses cheveux que j'appréciais toucher, c'est dingue à dire mais je crois que s'il venait à se raser la tête comme certains hommes, il passerait un très mauvais quart d'heure avec moi, car je ne supporterais pas de ne plus vouloir lui toucher. Je laissais mes mains descendre jusqu'à son jean, que je finissais par lui détacher. Même si j'avais déjà passé des moments comme celui-ci avec Dwayne, j'aimais profiter de chaque seconde, comme ci s'était la dernière.

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